Lorsque l’on parle de réincarnation, de renaissance ou d’existence nouvelle dans le Bouddhisme, il est possible que la compréhension de ces mots soit biaisée, car la traduction occidentale ne permet pas de rendre compte du concept de « vie après la vie » tel qu’il est exprimé et donc conçu dans le Bouddhisme ancien. Y a-t-il dès l’origine 3 expressions pour signifier un même concept ? Ou bien est-ce une approximation de traduction ou une affirmation au sujet de ces 3 niveaux de compréhension ? Pourquoi le Bouddha utilisait-il un terme plutôt qu’un autre en fonction de son auditoire ? Eclaircissements avec Dominique Trotignon.
978 2 845 90346 3
Ainsi parlait le Bouddha/ Dits et maximes de vie choisis et traduits par Thierry Falissard
Éditions ARFUYEN