« L’introduction à la lecture du Shôbôgenzô du moine bouddhiste Dögen que nous présente Yoko Orimo, nous fait accéder, nous autres occidentaux à un dépaysement total à cause des raffinements du langage, de la profusion des images poétiques, des dialogues déroutants, mais aussi à cause d’une expérience de la vie et de l’existence, d’une manière de vivre, qui peut nous paraître tout à fait extraordinaire, au sens le plus fort du mot ».
Pierre Hadot, Professeur honoraire au Collège de France.